Institut National d'assurance Maladie-Invalidité (INAMI)
Après mes études, j’ai travaillé à mi-temps pour le CLB (centre d’accompagnement des élèves). Le reste du temps, j’étais médecin généraliste indépendante. Mais j’ai ensuite postulé au SPF Intérieur et j’y ai été engagée à temps plein.
J’ai débuté à l’INAMI grâce à une procédure de mobilité interne. Il s’agit d’une réglementation spéciale pour les personnes qui souhaitent passer d’un service public fédéral à un autre. J’ai donc été dispensée des tests de sélection généraux et ne devait passer qu’un entretien oral. Deux semaines après celui-ci, on m’annonçait déjà que j’étais acceptée et deux mois plus tard, je commençais.
Je suis médecin-inspecteur pour le Service d’évaluation et de contrôle médicaux de l’INAMI. C’est un travail très varié. La plupart du temps, je suis au bureau, mais j’effectue également des déplacements pour des examens. Dans ce cas, je suis généralement accompagnée d’un collègue. Mes tâches à l’INAMI sont très diverses, ce qui rend mon travail passionnant.
Il faut pouvoir dégager des renseignements utiles d’une base de données et pouvoir y dénicher des informations pertinentes et scientifiquement étayées. Pour cela, un esprit analytique, de la patience et de l’expérience sont assurément des atouts utiles. Et puis, il y a le volet social et plus précisément le contact avec les gens.
Certainement l'équilibre entre vie privée et vie professionnelle. Ainsi, plusieurs dispositions sont possibles : des horaires flexibles, un congé sans solde, un travail à mi-temps, ... De plus, il n’y a aucun service de garde ou d’appels d’urgence la nuit. Enfin, l’INAMI dispose de services régionaux, ce qui peut parfois réduire considérablement les temps de trajet domicile-lieu de travail bien que le siège central à Bruxelles soit facilement accessible en train et en métro.